Un système automatisé de collecte et de traitement des données est développé et opérationnalisé pour soutenir la réalisation des enquêtes.
401 collecteurs des données et 52 PF ont été formés à la collecte électronique des données. Ces acteurs ont été équipés de 453 SMART phones pour la collecte des données dans 401 aires de santé.
Les outils de gestion et de supervision de ce réseau d’acteurs ont été mis en place.
Dans le cadre de la riposte Mpox, ce réseau a été mise en contribution pour faire la cartographie des relais communautaire dans 2 départements (Brazzaville et Pointe Noire).
Un appui technique a été mobilisé pour développer (40%) un système de Production et d’analyse les donnes (SPAD) qui est une solution intégrée de collecte, de stockage des données de routine et d’enquêtes.
un appui a été fourni pour renforcer le leadership du Ministère de la Santé et mobiliser les parties prenantes dans l’élaboration des comptes de santé afin de soutenir une prise de décision efficace.
Les cadres de la Direction de la Planification du ministère de la Santé ont été outillés pour coordonner l’élaboration des comptes de Santé du Congo. Un dialogue entre les parties prenantes pour élaborer les comptes de santé a été organisée. Les collecteurs des données dans les structures publiques et privées des différents niveaux ont été formés ainsi que leurs superviseurs.
Un appui a été assuré aux prestataires de santé sur la surveillance, la pratique des audits des décès maternels, néonatals et infantiles y compris le dépistage des lésions précancéreuses à travers l’approche IVA/IVL.
Une mission de supervision a été organisée dans 4 hôpitaux (Mindouli, Bouenza, Dolisie et Pointe-Noire) afin d’évaluer l’utilisation du partogramme et la pratique des audits de décès maternels.
Sur les 4 hôpitaux supervisés, le taux d’utilisation du partogramme atteint 66 % à l’hôpital de Loutete (Bouenza) qui enregistre la plus faible performance. L’évaluation a également confirmé l’effectivité des audits de décès maternels avec 76 décès notifiés en 9 mois. Toutefois, certaines structures ne disposent pas encore de comité dédié à l’analyse de ces décès.
Un système automatisé de collecte et de traitement des données est développé et opérationnalisé pour soutenir la réalisation des enquêtes.
401 collecteurs des données et 52 PF ont été formés à la collecte électronique des données. Ces acteurs ont été équipés de 453 SMART phones pour la collecte des données dans 401 aires de santé.
Les outils de gestion et de supervision de ce réseau d’acteurs ont été mis en place.
Dans le cadre de la riposte Mpox, ce réseau a été mise en contribution pour faire la cartographie des relais communautaire dans 2 départements (Brazzaville et Pointe Noire).
Un appui technique a été mobilisé pour développer (40%) un système de Production et d’analyse les donnes (SPAD) qui est une solution intégrée de collecte, de stockage des données de routine et d’enquêtes.
La stratégie opérationnelle est évaluée pour documenter l’impact de l’action de l’OMS dans 24 centres de santé.
Un appui a été fourni pour évaluer la stratégie opérationnelle (soins de santé primaires). L’évaluation a montré une bonne évolution des indicateurs dans 24 aires de santé cible de la stratégie opérationnelle durant la période de 2020 à 2024 : Le taux de soins curative de 8,56% à 16,83% ; proportions des accouchements avec partogramme de 9% à 38% ; taux des formations sanitaires (FOSA) disposant les 25 médicaments traceurs de 28% à 57% ; les FOSA dépistant de l’HTA de 63% à 98,32% ; les femmes enceintes vues en CPN1 de 27,1% à 32,3% ; les femmes enceintes testées séropositives en CPN de 24% à 72%.
Ces résultats ont permis de soutenir un plaidoyer auprès du MSP pour la mise à l’échelle de SO.
En février 2025 lors de l’atelier des revues des plans de travail annuels budgétisés de 2024 et la planification 2025 du MSP, le ministre de la Santé a déclaré la mise à l’échelle de SO